Le monde a connu récemment une extermination de sa population par le COVID. Pour parler du COVID, cela revient à parler aussi du CO2. Ces derniers entretiennent une relation. Quelle est alors cette relation ? Découvrez-la dans cet article.
Le CO2 pour véhicule le COVID
Le CO2 est un gaz que nous rejetons lorsque nous respirons. A l’extérieur de l’organisme, il sera responsable de la mauvaise qualité de l’air. Le CO2 est l’abréviation du dioxyde de carbone. Chacun de nous respire environ 8 litres d’air en une minute. Imaginez, lorsqu’il y a un nombre élevé de personnes dans une salle. Comme nous le savons, l’air est constitué de petites particules ayant différentes tailles et capables de rester dans cet air, l’air que nous respirons, pendant un certain moment. Le danger réside dans le fait que ces particules existant sous forme de gouttelettes appelées aérosols sont favorables pour transmettre le coronavirus ou COVID. Ainsi, lorsqu’il y a une personne infectée par le COVID dans une salle, le risque que les autres personnes courent pour contracter ce virus, car le COVID est un virus, est élevé.
Cela est possible, parce que le CO2 rejeté par cette personne infectée, se rajoute à ceux libérés par les autres à l’origine de l’augmentation de la constance de l’air, ce qui facilite le transport du COVID.
Le CO2 pour faciliter la transmission du COVID
Comme on peut le constater, le CO2 est un indicateur facilitant la transmission du COVID. En effet, la concentration du CO2 dans une pièce peut déterminer s’il y a un risque de contamination. Il existe une concentration seuil du CO2 en dessus de laquelle les personnes peuvent être infectées. Autrement dit, plus la concentration du CO2 dans l’air est élevée, plus la charge virale est élevée et plus le risque de contamination par le COVID est grand.
Le CO2 et le COVID entretiennent donc une relation de complémentarité. Cependant, on peut réduire les risques de contamination en mesurant la concentration du CO2 et en épurant l’air.